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dimanche 19 août 2012

ON M'A DÉFAIT

 Je viens de voir le visionnement d'un reportage sur le traitement des femmes islamiques au moyen orient. Comme atrocité et barbarie, je n'ai jamais vu pire. Pourquoi … pourquoi, des hommes de ces régions exercent-ils autant de cruauté et d'inhumanité envers un être humain? Pourquoi s'attaquer à un être plus faible.

Selon un médecin venu soigner ces femmes, il y en aurait au-delà d'une centaine chaque mois ou chaque année ... je ne sais plus ... qui subiraient l'assaut d'un homme à l'acide sulfurique. Le visage surtout mais d'autres parties du corps sont visées par ces barbares jaloux, possessifs et immatures

Les raisons sont toutes aussi minables ou pitoyables : refus de répondre aux avances sexuelles ou maritales, rejet de l'épouse vieillissante ou incapable d'avoir des enfants … Toutes les raisons sont bonnes pour évincer un être devenu encombrant ou infect parce que trop vieux.

J'ai vu des visages défaits, des yeux absents, des nez invisibles, des joues corroyées, des oreilles corrodées et encore … encore … et encore. Ces hommes qui se comportent de manière ignoble traitent ces femmes comme du bétail. Leur vice qui fait rapporter tout à eux parce que leurs penchants ou leur instinct passent en premier les avilis et les rend indignes d’un être humain.

Ce qui les intéressent en définitive, c'est la guerre, la destruction de l'autre incluant leurs femmes et leurs enfants, l'appât du gain et mais surtout, le bien-être personnel. J'ai honte d'être un homme et si Dieu existe, Il a sûrement honte d'avoir créé ce genre d'homme.

Les conventions ne sont pas seulement pour la femme, mais aussi pour l'homme. Lorsqu'elle n'aura plus besoin de cacher son visage parce que semble-t-il cela excite les hommes, lorsqu'elle pourra émettre un commentaire sans se faire battre parce qu'elle a ouvert la bouche et lorsqu'elle n'aura plus à protéger ses enfants des assauts adultérins, alors elle vivra tranquille. En attendant, elle doit subir … un voyou sans inhibition.

La femme est plus généreuse que l'homme, et elle ne s'attache pas seulement, comme celui-ci, à la beauté extérieure. (Pirandello Luigi)