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dimanche 28 novembre 2010

OH ... NOSTALGIE - VOLET II


Je crois que ce qui est important dans la vie, ce sont les événements qui l'accompagnent. Noël en est un qui se transforme d'année en année, mais qui demeure toujours la fête par excellence.

Monter un arbre de Noël avec la marmaille, c'est le début de ce que l'on appelle, la période des fêtes. Quel rituel ! Lorsque mes enfants ont eu l'âge d'accrocher une boule de Noël sans l'échapper, ils ont commencé à garnir cet arbre devenu féérique.

Ce que j'ai le plus affectionné, c'est de mettre en place la crèche de Noël avec les jeunes. Chacun veut déposer une statuette ou un santon dans une petite cabane de bois ou sur un lit de branche de sapin. Bien souvent, ils se dépêchent d'en quérir un deuxième, puis un troisième pour s'approprier l'appartenance de la cabane.

Les boules, les glaçons, les guirlandes, les cheveux d'anges, les lumières et la neiges artificielles ... on en fini plus d'en ajouter.  L'ultime démarche, c'est l'ange sur la cime de l'arbre. Avec l'ange, l'arbre est complet, protégé des mauvais augures et surtout, il veille sur nous selon la croyance populaire.

Dans le fond, la marmaille n'est intéressée que par ce qui va garnir le pied du sapin, LES CADEAUX. Je trouve effectivement que le sapin est plus beau avec ses cadeaux.

Pour ajouter de la fébrilité à la fête, les cadeaux étaient toujours déposés au moins une semaine avant la fête. Les instructions suivantes étaient données : «Soyez sages sinon nous enlevons un cadeau au délinquant … ouf». Quelle tragédie, mais cela n'arrivait pas car, c'était une des périodes de l'année dès plus tranquille.

Mon cadeau à moi, c'était la musique de Noël et l'une de celle-là était chantée par Wham, Last Christmas. Tout le monde se souvient de Wham et de Georges Michael pas celui d'aujourd'hui, mais celui des années 80.

Je vous en fait cadeau; c'est une musique douce que chante aussi Hilary Duff avec beaucoup de douceur.

mercredi 24 novembre 2010

AVE IMPERATOR MORITURI TE SALUTANT - Vol. II

Je n'en reviens tout simplement pas ! Les bulletins de nouvelles de toutes les chaînes de télé et de la presse … la radio, ça ne vaut même pas la peine d'en parler … se font un malin plaisir de montrer les fesses des politiciens qui se font prendre les culottes baissées.

On en est rendu au point d'essayer de trouver de l'acné sur les fesses des membres des … parties … politiques … ouch … Il est vrai que les partis politiques font tout pour se faire remarquer, mais je ne sais pas ce que ces parties cherchent. À mon avis, je crois que cela va se retourner contre eux tous.

Un nouveau parti politique va naître et ils auront la voie libre. Le déblayage sera fait parce qu'un parti au pouvoir maintient à tort ou à raison une ligne de travail et parce que les partis d'opposition déchirent leur linge sur la place publique . L'électorat en a ras le pompon et n'a plus de respect pour les politiciens.

C'est curieux qu'un membre d'un parti politique qui en a accusé un autre, soit accusé à son tour. Du même souffle le chef du politicien qui accuse, mentionne de l'autre côté de la bouche que son député n'a pas a être jugé puisqu'il n'a pas été condamné.

Heureusement, les éditorialistes commencent vraiment à se questionner sur les solutions que certaines personnes exigent. Le courant change et je suis au petit oiseau parce que tout ce beau monde sera remplacé par un nouveau parti.

La vie est belle … ceux qui vont vous faire mourir vous saluent ...

dimanche 21 novembre 2010

OH ... NOSTALGIE


Il m'arrive de temps à autre de faire la lecture des faits divers sur des sites internets. Aujourd'hui c'était sur YOU TUBE. J'avoue que ce n'est pas ma tasse de thé, mais j'ai eu du plaisir à revoir une chanson de mes vingt ans … GREASE.

Cette chanson est interprété par Franki Valli et les Commodores. Quelle époque! Franki Valli faisait fureur aussi avec les Four Seasons. Ouais, je sais … je suis vieux, mais ne vous méprenez pas je ne suis pas sénile. À l'époque des Four Seasons, nous étions une bande d'étudiants qui faisaient la fête le samedi soir dans une salle que nous avions réservée quelques semaines auparavant.

Nous avions habit avec pantalon « éléphant » … ouach … et chemise blanche avec cravate quasi dénouée. Les cheveux lissés avec du « brylcream » plein la tête, nous faisions les jars. La majorité des gars avait des souliers bien ordinaires mais moi j'aimais les bottes … Pour en avoir, je prétextais que j'avais froid au pied. Même si je travaillais en même temps que mes études, mes parents ne voulaient pas que je fasse des dépenses excessives.

Chaque semaine, nous changions de lieu de rencontre. Nous étions une centaine de gars et de filles … eh oui, rien de moins … à se suivre comme cela avec notre groupe musicale ou notre DJ. Je me souviens de ces danses surtout les « slow » … hum … je me demande comment il se fait que tout ce monde … enfin presque … étaient encore vierge ou joseph durant tout ce temps.

Nous étions organisé et nous avions des règles … Attention aux filles, aux alcools et à la police.
Puis un jour sans s'en rendre compte, tout ça a cessé. Chacun est parti de son côté. Quelques-uns se sont revus, mais sans plus. Nous passions à autres choses, nous grandissions en âge, en sagesse et en grâce … pour ceux qui se souviennent. Ouais pour ceux qui se souviennent pas, cela est devenu en … graisse …

Aujourd'hui, je me souviens et ça me fait du bien … ça me tente de vous faire écouter quelque chose que j'aimais … allez hop cascade …

mercredi 17 novembre 2010

NUMÉROLOGIE … MON AMOUR


Dernièrement, un ami m'appelle pour me dire que cette année, sa date anniversaire de naissance a une résonance particulière avec son nom lorsque l'on additionne séparément les deux espèces. Bon, ça y est … il va se mettre à faire de la magie ! Son « aura » serait passé de la couleur « x » à la couleur « y » après avoir fait la somme de ces calculs … qui dit !

Les « spécialistes » de la numérologie prétendent que cette science serait un ensemble de croyances et de pratiques fondées sur l'attribution de propriétés à des nombres. L'une des origines de la numérologie serait une technique traditionnelle de recherche faite dans le judaïsme et la Kabbale.

Chaque lettre aurait une valeur numérique et une fréquence vibratoire. Dans l'alphabet francophone, il y a donc 26 lettres auxquelles on peut donner une valeur.

Ceux qui pratiquent une technique de divination basée sur les nombres de 1 à 9 seraient des arithmanciens ou arithmomanciens. Cette pseudo science consisterait à transformer le prénom et le nom des gens en une suite de chiffres pour obtenir ce qu'on appelle le nombre d'expression, le nombre intime et le nombre de réalisation.

Mes recherches personnelles … m'amène dans l’univers de Harry Potter où l’arithmancie est une option enseignée par le Professeur Vector. Les élèves de l’école de Poudlard peuvent choisir de suivre ce cours à partir de leur 3e année. Hermione Granger serait la seule personne assez brillante semble-t-il pour suivre ce cours, bien qu’elle méprise le cours de divination. En 3e année, les élèves doivent se procurer le livre « Numérologie et grammaire », obligatoire pour le cours l'arithmancie.

Selon mon interlocuteur, on fait un grand pas là. Le Talmud, la Torah, le Coran et qui d'autres … auraient des niveaux cachés de lectures qui nous permettraient d'atteindre la connaissance. Mais c'est quoi cette connaissance ? … Oups … sais pas !

Le risque de superstition … c'est comme l'amour, on peut y croire, mais comment vérifier?  Pauvre pétit dé moi ... dixit Sol ... je suis un craqu ... é

lundi 15 novembre 2010

ÊTRE SEUL - II

Je vois que mon blog précédent sur la solitude ... dérange ... et j'en suis heureux. D'abord, une mise au point: je ne parle pas de moi ... bon, un pas de fait ... mais bien des autres.

Le thème de mon blog est clairement établi et je n'ai pas changé. Je suis cynique mais positif.

Des amis, j'en ai et de bon en plus.

dimanche 14 novembre 2010

ETRE SEUL

Des célibataires de longue date par choix, des hommes et des femmes qui n'ont pas trouvé l'âme sœur, des femmes et des hommes rejetés par leurs familles et des personnes que la chance n'était pas au rendez-vous .

Être seul dans un appartement, ne rien dire, jeter un regard à la télé ou dans un bouquin, n'avoir personne avec qui discuter, est-ce le lot de tous ceux qui se retrouvent seuls ?

On regarde la page des journaux pour vérifier l'horaire télé, la publicité sur les cinémas ou une pièce de théâtre intéressante. Pour les adeptes de l'ordinateur, on cherche sur les sites de rencontre pour discuter avec les personnes qui accepteraient un rendez-vous. Mais c'est un jour de la semaine où personne n'est disponible.

Les femmes qui se retrouvent seules avec leur marmaille téléphonent à leurs amies ou amis et les hommes eux décident de boire une caisse de bière pour engourdir leur peine et oublier.

Être seul veut dire aussi être avec quelqu'un qui ne partage rien de notre vie même si cette personne partage notre appartement. Dans cet univers surpeuplé, les gens sont de plus en plus seuls. Ceux qui recherchent l'amour d'une autre personne qu'ils ne connaissent pas, ne rencontrent jamais parce que la solitude génère la solitude.

Alors, où allons-nous … que faisons-nous ?

Nous attendons qu'un événement heureux se manifeste. Nous espérons que la vie va se charger d'égayer notre existence, mais voilà nous attendons toujours et, un jour, lorsque nous nous regardons vraiment dans un miroir, nous voyons des visages vieillis à la peau flasque et ridé.

Le remède, il n'y en a pas … le remède, c'est d'accepter que nous avons des talents à faire connaître, que le monde est dehors le jour et qu'il faut sortir pour discuter avec quelqu'un qui partagera avec nous sa solitude.

dimanche 7 novembre 2010

VOYAGE SUR LA 802 – VOL. IV

C'est l'automne et il pleut … et c'est normal. Le conducteur de ma 802 semble être de mauvaise humeur … sa brasse dans son autobus qui semble toute neuve.

Les arrêts et les départs sont épouvantables. Tous les passagers se retiennent solidement avec un poteau (comme celui d'une danseuse), avec la poignée d'un banc, avec une ganse qui ne tient rien ou grâce à un autre passager assis confortablement.

Les arrêts sont des coups-à-coups que le conducteur donne allègrement sur la pédale de frein. Surtout lorsqu'il décélère, on s'aperçoit que les passagers et son véhicule vont en manger toute une ... Tout le monde se rend compte que nous avons à faire à un chauffard qui a vu « Clanche » récemment … C'est un film de fou avec un autobus azimuté … rien de moins.

Lorsque l'autobus redémarre après un arrêt, on sent que la pédale « est au fond » et puis elle va être là longtemps. La force G est devenue un véritable exercice de combat de l'homme contre la loi de Newton. « Que veut-il prouver » me dit un voisin ! « Je pense qu'il n'a pas eu son bonbon ce matin » rétorque ma voisine avec un sourire … euh … Ceux qui ne sont pas prêts à mourir ont la main sur la manette qui pourrait ouvrir la fenêtre en cas d'accident.

Un type s'approche du conducteur et on sent qu'il a une envie folle de … Tout le monde aurait le goût d'applaudir et même de demander un rappel. Mais non le passager sait vivre … lui …

Vive nos beaux voyages dans la 802 … des heures de plaisir.


jeudi 4 novembre 2010

CARDIOLOGIE … VIA LA 802

C'est la seconde fois que je vais à l'hôpital pour un examen coronarien. Chaque fois, j'informe l'équipe médicale que ma mère s'est trompé dans le cours de ma fabrication ... elle a placé l'artère de ma main droite sur le côté et non sous le poignet.

Cette artère est la porte d'entrée pour un petit voyage vers mon cœur qui commence à donner des signes d'inconfort. Donc, on vérifie l'état du réseau.

Pour y entrer, on me gèle en me piquant sous le poignet parce que l'on a rien compris et que l'on croit que je divague avec mes affirmations. Mais chaque fois, on se rend compte qu'il se trompe. Donc on recommence les piqûres. Seigneur, priez pour eux car il ne savent ce qu'ils font. Lorsqu'il me pique sur le côté, c'est comme s'il te piquait sur la racine d'une dent. Je n'ai que le goût de leur donner quelques bonnes gifles

Mais dans ce cas-ci, c'est un stagiaire étranger ... un étudiant spécialiste en cardio qui te fait la job. Vendredi, c'était un sud américain qui parlait le dialecte incas ... Je lui expliquais le problème, mais je crois que lui croyait que je voulais lui donner un cours de médecine.

Pour boucler le tout, on me demande de laisser la salle de chirurgie pour faire place à une dame qui entre pour le traitement d'un infarctus. En bon samaritain, je cède ma place la main gelé et la peau sensible parce que l'on m'avait peinturé les cuisses, «la chose » et l'abdomen avec de l'alcool. Un endroit frais rasé donc très sensible … Je suis brulé au sixième degré … j'ai mal, mais je marche jusqu'à mon grabat.

Après 30 minutes d'attente, on me demande de réintégrer la salle … à pied … rien de trop beau … et de m'étendre sur l'étal opératoire. Et le jeu recommence. On m'étend à nouveau de l'alcool en quantité industriel puis on me repique cette fois-ci du côté droit de la main … entre l'os et l'artère, je sens que l'on m'arrache les ongles puis on me coupe. J e-n e-m e-p e u x-p u … Je fais le pont comme un lutteur qui ne veut pas se faire coller les épaules.

Avec toutes ces bévues, j'avais des coupures profondes créées par un scalpel fou. L'une des coupures à refuser de cicatriser. Pendant près de 5 heures mon bras n'a pu bouger et toutes les deux (2) heures, on tentait de m'enlever des ty-raps qui serrait un morceau de styromousse et qui me blessait l'os du poignet. Chaque fois que l'on examinait le pansement en styromousse, le sang pissait d'un jet de 15 à 30 centimètres par battement cardiaque.

Bon je vais mourir, on me suicide … on m'a coupé le poignet. Le bras a servi à un apprenti qui m'a surement piqué avec un pic à glace avant d'entrée une canule.

L'infirmière tente un dernier coût d'éclat. Elle enlève l'objet de ma torture et elle m'applique une main délicate et bienfaisante sur mon poignet que je ne sens plus tellement. On l'a piqué, coupé et mis dans un presse jus. Et d'un coup, tout rentre dans l'ordre. Je me dis, ils ont un autre truc, je vais monter au bucher, c'est le dernier traitement, la dernière torture que je devrais endurer. Vive Jean d'Arc …

Mais non. « Rentrez chez vous » qu'on me dit « et surveillez la chose ». Si cette main infâme pisse le sang, revenez nous voir ou mourrez. Heureusement, tout semble rentrer dans l'ordre même si samedi et dimanche dernier, je ne pouvais me servir de cette main.

Ma main vengeresse était en piteuse état …mais elle est patiente

AVE IMPERATOR MORITURI TE SALUTANT - Vol. I


Pendant plus de huit (8) ans, j'ai été impliqué dans un parti politique du Québec et de façon plus importante pendant les quatres (4) dernières années.
Aujourd'hui, je regarde l'agir de la coterie qui composent ces partis et je me questionne sur nous qui devons subir certains d'entre eux. « Salut empereur ceux qui vont … devoir se faire mourir ... te saluent » … adaptation personnelle.
Le respect n'existe plus et la démagogie règne en maître. Que l'on dise n'importe quoi, l'important est de miner la crédibilité de l'autre. La gauche gauche est vraiment gauche.
La plèbe peut bien être mêlée. On manipule tout et croit que le peuple ne comprendra pas. Ce qui est déplorable, c'est que le petit peuple ne souviendra pas des perversités de son parti lors des élections. Pourquoi ? Parce que le bon peuple a une mémoire de six (6) mois maximum.
Aujourd'hui, nos représentants crient comme des putois qui ont le petit orteil pris dans un piège à ours. Je suis sûr qu'ils croient que cela va faire son effet … Ah! Ha! … Ben non ! On rit de vous car, vous êtes notre festival « juste pour rire ».
En fait, on ne croit plus personne … Malheureusement, on a jamais appris à voter puisque l'on vote toujours contre un candidat!

mercredi 3 novembre 2010

YAVWEH OU ALLAH


Je me rends compte que j'ergote sur beaucoup de choses. Suis-je devenu débile pour discourir sur tous les événements qui me touchent ? Certainement pas et ce n'est pas pour demain que je m'endormirai sans rien dire.

Le protestantisme, le catholicisme, l'islamisme, l'hindouisme, le paganisme (ouch) et bien d'autres « isme », ont toujours servi de prétexte aux personnes en mal de dominer. Les femmes et les enfants en particulier sont toujours au centre des règlements de comptes et même des massacres comme s'ils s'étaient porteurs de tous les péchés du monde.

L'inquisition, le talibanisme (pas dans le dictionnaire), l'islamisme et encore et encore ont fait payer ou font payer cher à celles qui sont les plus faibles le prix de leur pseudo crime. La même offense des femmes est toujours plus « grave » que celle des hommes. C'était comme ça, il y a 2000 ans, comme cela il y a 1000 ans et encore comme cela aujourd'hui.

En preuve, Sakineh Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée à mort en 2006 pour adultère. Un jugement l'a condamnée à la pendaison pour son implication dans le meurtre de son mari et un autre à la lapidation pour d'autres charges d'adultère. La première condamnation avait été commuée en appel en une peine de dix ans de prison. Mais la condamnation à la lapidation a été confirmée en 2007 par la Cour suprême.

Si c'était un homme, il aurait eu une peine de prison, mais parce que c'est une femme, on la condamne non pas pour le meurtre, mais pour l'adultère. Doit-on comprendre que les hommes sont supérieurs aux femmes … hum … bandes d'ignare ! Et dire que les juges adorent le même Dieu que nous …

Je crois que Dieu s'est incarné en un homme. Je crois aux messages d'accueil qu'il nous a laissé envers les autres puisque les autres en définitive … c'est nous. C'est un message plus humain car, ne nous a-t-il pas dit comme premier message … de nous aimer les uns les autres ! Cela veut dire aussi nous respecter ...