Translate

vendredi 11 novembre 2016

LE SAVOIR ET LA FRANCE


Depuis plusieurs siècles, la France a toujours été le lieu « du haut savoir » dans le monde. Les révolutions françaises n’ont pas eu raison de ce savoir qui a été préservé par le peuple a chaque époque. Mais aujourd’hui les responsables de la diffusion de se savoir, les élus municipaux et gouvernementaux sont en train de tuer la transmission à une nouvelle génération de femmes et d’hommes.

En effet, les administrateurs fonctionnaires subordonnés à l’incompétence des élus sont devenus une plaie pour la société. Ils conçoivent ou exagèrent de nouveau programme d’enseignement pour se donner un statut d’indispensable à la scolarisation des générations. Ces programmes que les éducateurs n’en voient pas la pertinence et à qui on n’explique pas, deviennent caduque.

Est-ce normal que l’on engage des chômeurs par exemple pour faire de l’enseignement à des enfants en milieu scolaire ? Est-ce normal que l’on fasse du même souffle la vérification professionnelle des éducateurs compétents qui ont plusieurs années de service ? Est-ce normal que l’on engage des inaptes qui ont raté leur condition d’admission ? Est-ce normal que l’on engage de petits copains pour jouer au gourou dans une classe ?

Qui décide dans cette gestion française de l’éducation ? Poser la question, c’est y répondre ... personne et tout le monde. La France, siège de l’Académie de la langue française, est en train de perdre sa langue par une scolarisation est déficiente. Paradoxalement, tirer un mot en langue anglaise dans une conversation en français fait fureur et bourgeois à la fois. Les administrateurs fonctionnaires et les élus n’ont plus la fierté de leur pays.

On comprend maintenant pourquoi tant de jeunes adultes soient sans travail ou sans initiative en affaire. Ceci explique les trop nombreux désintéressements de la jeunesse française envers la France. Les irresponsables de l’éducation n’ont rien compris de l’appui qu’ils doivent donner aux éducateurs qui, en retour, vont transmettre un enseignement clair et respectueux.

Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément. - L'Art poétique (1674) de Nicolas Boileau-Despréaux