Depuis plusieurs
siècles, la France a toujours été le lieu « du haut
savoir » dans le monde. Les révolutions françaises n’ont
pas eu raison de ce savoir qui a été préservé par le peuple a
chaque époque. Mais aujourd’hui les responsables de la diffusion
de se savoir, les élus municipaux et gouvernementaux sont en train
de tuer la transmission à une nouvelle génération de femmes et
d’hommes.
En effet, les
administrateurs fonctionnaires subordonnés à l’incompétence des
élus sont devenus une plaie pour la société. Ils conçoivent ou
exagèrent de nouveau programme d’enseignement pour se donner un
statut d’indispensable à la scolarisation des générations. Ces
programmes que les éducateurs n’en voient pas la pertinence et à
qui on n’explique pas, deviennent caduque.
Est-ce normal que
l’on engage des chômeurs par exemple pour faire de l’enseignement
à des enfants en milieu scolaire ? Est-ce normal que l’on fasse
du même souffle la vérification professionnelle des éducateurs
compétents qui ont plusieurs années de service ? Est-ce normal que
l’on engage des inaptes qui ont raté leur condition d’admission
? Est-ce normal que l’on engage de petits copains pour jouer au
gourou dans une classe ?
Qui décide dans
cette gestion française de l’éducation ? Poser la question,
c’est y répondre ... personne et tout le monde. La France, siège
de l’Académie de la langue française, est en train de
perdre sa langue par une scolarisation est déficiente.
Paradoxalement, tirer un mot en langue anglaise dans une conversation
en français fait fureur et bourgeois à la fois. Les
administrateurs fonctionnaires et les élus n’ont plus la fierté
de leur pays.
On comprend
maintenant pourquoi tant de jeunes adultes soient sans travail ou
sans initiative en affaire. Ceci explique les trop nombreux
désintéressements de la jeunesse française envers la France. Les
irresponsables de l’éducation n’ont rien compris de l’appui
qu’ils doivent donner aux éducateurs qui, en retour, vont
transmettre un enseignement clair et respectueux.
Ce qui se conçoit
bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent
aisément. - L'Art
poétique (1674) de
Nicolas Boileau-Despréaux