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vendredi 18 décembre 2015

VOYAGE SUR MA 802 – UNE GROSSE EXPÉDITION


Un voyage dans mon autobus 802 c'est comme le voyage d'Alice au pays des Merveilles. C'est rempli d'enchantement et surtout d'imprévu. Certains diront que c'est l'effet de mon imagination et d'autres que cela est vrai. À vous de choisir…

Aujourd'hui, il pleut. Je suis déjà dans cet autobus depuis quelques minutes lorsque le plus important des arrêts aligne de nombreux passagers. Nous sommes dans le secteur des migrants de ma ville. À chaque embarquement d'un passager … l'autobus tangue. Il doit y avoir au moins une quinzaine de personnes qui attendent et dont le poids est certainement au-dessus de 100 kilos.

Ma 802 est déjà pleine et ça pousse ce monde-là. Une dame … non, car son langage n'avait rien d'une dame … une passagère me dit : « Donne-moi ta place » … Je lui demande pardon pour être bien sûr d'avoir compris et elle me dit de nouveau : « Je t'ai dit de me donner ta place! ». Bon ça y est, on va avoir de la contestation.

Je l'ignore et je regarde par la fenêtre. Elle revient à la charge et avec une tape sur l'épaule, elle me dit de nouveau dans son accent : « Je pense que t'as pas compris, je t'ai dit de me donner ta place. » Je lui réponds que mes cheveux blancs sont fatigués et qu'ils vont conserver le siège. Elle rapplique pour me dire que l'on doit toujours offrir son siège à une dame … Mais cette fois, je la regarde et je ne dis pas un mot sauf que mes beaux yeux parlent … Je ne vois pas de dame.

Voyant sa lutte vouée à l'échec, elle fait un 180 degrés et s'assoie sur une de mes cuisses … Avec un popotin d'un mètre cinquante de large et d'environ 50 kilos … ça c'est toute une coupe de viande … elle me martyrise les articulations.

Je lui dit : « Madame, c'est un assaut et si vous ne vous enlevez pas, je vais être désagréable. » Des personnes autour de moi cachent leur sourire … non, leur rire … N'écoutant que mon courage et voyant que ma descente approche, je tire ma jambe endolorie vers moi et me lève rapidement. Ce qui devait arriver … arriva… et le plancher a tremblé. Vivement la porte de sortie et hourra pour mon déguerpissement. Je suis sauf, mais je boite … je me souviens de cette célèbre phrase … à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

La coupe des souffrances n'a pas la même taille pour tout le monde. - Paulo Coelho

dimanche 15 novembre 2015

LES FRANÇAIS … SE SOUVIENNENT


L'histoire m'a toujours fasciné particulièrement l'histoire des nations qui ont marqué le monde par leurs actions pour la liberté et le respect des droits de la femme et de l'homme. Les Français sont en tête de liste des nations qui ont mené des opérations responsables pour l'atteinte de ces objectifs.

Sa culture, sa langue, son terroirs et surtout son accueil ont fait de la France l'envie des migrants du monde. Mais aujourd'hui, les Français sont maintenant victime de leur ouverture sur ce monde et ce, par un ennemi insidieux qui n'hésitent pas à faire mourir des congénères.

Depuis quelques années des terroristes mènent des guérillas contre ce pays. Même si l'époque des guérillas sont révolues depuis des décennies, ces forbans ne comprennent pas qu'ils combattent contre eux même. En effet, lorsque l'on connaît bien les véritables français, les terroristes ne font que blinder sinon galvaniser cette nation par leurs gangstérismes.

Ces extrémistes n'ont pas compris que leurs maîtres à penser les utilisent comme ils le font avec du papier cul pour essuyer le crottin qu'ils rejettent. Toujours facile de tout faire disparaître puisque l'activiste n'a qu'à tirer sur une petite corde le reliant à des bombes personnels pour s'effacer de la surface du monde.

Mais c'est sans compter … sur la résistance … des véritables français qui ont su par le passé prendre les outils nécessaires pour nettoyer l'écurie guerrière. Les Français se souviennent des atrocités qu'ils ont déjà subis et qu'ils ont neutralisé en actionnant la chasse d'eau pour se libérer des salauds,

Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix!
Tout est soldat pour vous combattre
S'ils tombent, nos jeunes héros
La France en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre.
(La Marseillaise – Hymne français)

jeudi 12 novembre 2015

MON LIT, MON AMOUR



L'amour est un sentiment fort de tendresse et d'affection entre deux personnes ou envers un corps autre. Il peut être aussi un acte sexuel, une passion ou un intérêt  pour deux personnes ou ce corps étranger . Pourtant, le plus grand amour pour la majorité d'entre nous … c'est le lit … Eh ouiiii … le lit.

On le racole régulièrement parce qu'il nous procure une certaine félicité et de la sérénité. Si on ne trouve pas notre lit ou qu'on l'a perdu, on devient irritable ou même susceptible parce que l'on ne pourra plus s'y blottir. Il est un compagnon de vie affidé et nous accepte à n'importe laquelle heure de la journée ou de la nuit sans nous faire de scène.

Pour être le plus beau, il se drape de manteau à large couverture et se coiffe d'un oreiller pour mieux nous entendre râler … ou ronfler. Il entend et voit nos exhibitions sexuelles … il n'est pas pudique ... Il consent a nos infidélités et participe même à nos ébats. Même s'il accepte qu’on le trompe avec quelqu'un d'autre, il demeure d'une fidélité irréprochable.

Jusqu'au petit matin après nous avoir supporter toute la nuit, il accepte qu'on s'y frotte en rêvant qu'on est avec quelqu'un d'autre. Il consent à qu'on le tripote, qu'on se roule dans son manteau et que l'on prolonge notre farniente par des câlins à son oreiller … il accepte toujours d’être le témoin de représentation torride.

Puis un jour, on le répudie parce que sa couche est devenue trop vieille et la volupté d’antan est disparue. On le dépose à la rue et une autre personne en prend charge. À son tour, elle apprécie son confort et lui confie son sort.

On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime. - (Alfred De Musset)

lundi 28 septembre 2015

MIGRANTS OU CONQUÉRANTS


Depuis plusieurs semaines déjà des centaines de milliers de femmes, d'enfants et d'hommes veulent changer de patrie pour de meilleures conditions de vie. Au départ l'objectif de ces migrants est noble et personne ne va contester leur intention. D'ailleurs les citoyens qui reçoivent ces migrants sont prêts à ouvrir leurs portes toutes grandes et leur fournir de quoi redémarrer une nouvelle vie ou encore de combler des besoins de transitions pour un autre état.

Cependant, ces exodes ne sont pas toujours considérés comme bienvenus lorsque parmi ces centaines de milliers de personnes, certains marchent avec des intentions différentes. On a répertorié depuis les années 2800 avant J.-C. des déclarations de guerre à tous les ans par des migrants qui se sont transformés en conquérants pour s'accaparer la vie économique, religieuse et sociale des peuples qui les accueillent. Elles ont été légion dans tous les coins de l'Asie d'abord et de l'Europe ensuite et ce, plusieurs fois par décennie.

Nous entendons peu parler cependant de ces migrants honnêtes et valeureux qui s'intègrent aux pays qui les accueillent. Ceux qui se présentent en conquérants, c'est-à-dire qui manifestent de toutes les façons pour avoir dès leurs arrivées des avantages immédiats sont moins nombreux mais nuisible pour tous ceux qui sont prêts a adoptés les règles de leur nouveau pays. C'est connu, nous avons tous eu connaissance des refus de se conformer aux lois et règlements du pays qui reçoit sous prétexte que ce n'est pas conforme à leur culture sociale ou religieuse.

Évidemment, on entendra parler que de ceux là et pas seulement par les citoyens de la ville accueillante, mais aussi par le monde entier. Les communications aujourd'hui sont du domaine universelle et on y véhicule des tonnes d'informations toutes aussi différentes les unes que les autres. Les informateurs professionnels ou amateurs font toujours preuve de rectitude politique. Plus l'information coule à travers le monde, plus les uns se calment et plus les autres se révoltent, c'est la loi de la guerre.

Enfin, il y a les aspects pointus de cette nation migrante qui ne veulent pas s'adapter aux règles de l'hôte. Je crois que ces personnes sont la source des conflits ouverts qui s'annoncent déjà. L'Allemagne, le Canada, le Chili, la France, les USA et quelques autres commencent déjà à subir le harcèlement de la part de leurs nouveaux arrivants. Comment les dirigeants gouvernementaux et le peuple doivent considérer les actions de ces migrants alors qu'ils ont ouverts leur frontière toute grande. Les dirigeants gouvernementaux doivent malheureusement établir un filtre et durcir à juste titre les conditions d'entrées.


« Celui qui aime les hommes, les hommes l'aiment ; celui qui respectent les hommes, les hommes le respectent. »

 


dimanche 6 septembre 2015

LA VIE … LA VIE … IV


Alors que j'étais adolescent, nous avions des vêtements provenant des oncles et des tantes proches ainsi que des … « vrais » ... amis de nos parents... on n'aimait pas, mais vraiment pas ... La mode n'existait pas à une grande échelle chez nous, mais seulement pour permettre à la majorité des parents et amis de renouveler une petite garde-robe et la nôtre en conséquence … c'était à brailler.

Cette garde-robe comprenait des complets, des chemises, des cravates et, quelquefois, des gilets de laine. Mais le hic, c’était la forme du vêtement et le degré d'usure de la chose. Nous étions ados et les donneurs avaient deux à trois fois notre âge. Nous n'avions pas le choix de refuser ces vêtements car, nous n'avions pas autre chose. Cependant, notre mère nous promettait de les « adapter... ».

Et l'adaptation était … à pleurer pour elle.

Les pantalons avaient ce qu'on appelle des coffres au bas, c'est-à-dire des ourlets avec revers. Ils étaient si imposants et usés qu'ils devaient être coupés pour en faire des culottes style de golf, c'est à dire un pantalon du 18eme siècle attaché aux genoux et ceinturé par des chaussettes longues … C'était l’ancêtre du caleçon.

Maintenant, passons à un autre niveau, le veston. Le veston était démesuré pour nous pas en largeur mais, en longueur … wow... Sur nous, ce veston avait l'air d'un manteau d'automne. Les épaules nous arrivaient au biceps mais, c'était la mode. C'était un blazers double boutonnage revisité pour hommes … et plusieurs fois revisité ... qui s'attachaient devant notre braguette … fallait pas se tromper ...

Passons maintenant à la chemise et la cravate. La chemise blanche devenue beige avec le temps grâce à beaucoup de sueur aurait pu nous servir de chemises de nuit. Notre mère avait trouvé le moyen, de réduire la longueur des manches et la largeur des épaules. Pour le reste …! Quant à la cravate, notre mère avait frappé son Waterloo. Une cravate ne peu pas changé de modèle … qu'on se le dise. Ces cravates étaient tellement larges qu'on pouvait y voir toute la ville de Miami en Floride. Mais il y avait un avantage, nous la gardions en prenant nos repas. Grâce à cette bavette de luxe, nous ne pouvions pas salir notre nouvelle chemise.

La fin heureuse de tout ça, c'est que nous étions heureux puisque que nous demeurions dans une rue où il n'y avait pas de voisin et nos parents nous aimaient beaucoup.


Dans la vie il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas. - Jacques Chirac

vendredi 7 août 2015

VOYAGE SUR MA 802 - TROUBLE


Lorsque je monte dans cette autobus 802, je m'attends toujours à vivre des moments qui me marqueront sur le déséquilibre de la nature humaine. Les habitudes, l'attitude et les comportements en disent long sur chacun d'entre nous.

Dernièrement, une histoire m'a particulièrement troublée lorsqu'un passager derrière qui je m'étais assis s'est mis à bouger d'arrière en avant. Comme tout le monde, on éprouve une certaine gêne pour ne pas dire crainte devant ce genre de comportement. Alors, j'ai changé de place pour l'avoir face à moi, c'est-à-dire de l'autre côté de l'allée.

Cet homme commença à dodeliner de la tête comme s'il était assis sur une chaise berceuse. Son balancement s'accentuait a chaque mouvement et les gens autour de lui était stupéfait. Une dame derrière lui, cherchait mon regard pour en rire, mais j'ai penché la tête. Ce n'était pas le temps de se moquer de cette personne qui était visiblement troublée.

Alors que dans les derniers mouvements, il paraissait vouloir dormir son corps se relevait et de la paume de sa main, il se donnait une claque dans le front ... La dame ricaneuse chercha à nouveau mon regard pour approuver son excès rire, à nouveau j'ai penché la tête ... honnêtement, je me bidonnais. Drôle de façon de se réveiller, … oui … je plaignais celui qui m'aurait giflé de cette façon.

Puis, fixé sur sa banquette, il lâcha un sacre doublé d'une boutade … ho...»/?&* … arrête de ronfler … La dame éclata de rire et chercha de nouveau mon regard ... j'ai encore baissé la tête. J'étais troublé par son attitude surtout lorsqu'il recommença à se balancer sur sa banquette … Ce manège dura sans arrêt jusqu'à ce que je sorte de cet autobus.

Ma 802 repartit emportant cet homme troublé … et me laissant aussi troublé sur le trottoir …

La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents. - Confucius

mercredi 5 août 2015

VOYAGE SUR MA 802 – APPROCHE DIVINE


Après une longue marche, il m'arrive de prendre l'autobus pour revenir chez moi. Comme je l'ai toujours dit, la 802 est mon transport préféré. Je pense aux heures de plaisirs que j'aurais le jour de mon enterrement à me faire transporter jusqu'au cimetière par ce moyen de transport. Évidemment je rêve et je vois trop grand … Mais là n'est pas l'histoire de mon blog.

J'ai pris ma 802, il y a quelques jours pour revenir chez moi. Je m'assois toujours aux endroits où il y a le plus d'espace de disponible ... le centre … Une dame qui est venue s’asseoir à deux sièges de moi avait le goût de parler à quelqu'un. Comme j'avais les écouteurs aux oreilles, elle entama une conversation avec le voisin de face … sans doute un haïtien … Après quelques minutes de saines parlottes, il a sorti de ma 802.

J'écoutais toujours ma musique lorsque tout à coup je me sens tirer par le bras. Je dégage mon oreillette et ma voisine me lança sans préparation … « Dieu est avec toi » … J'ai figé puis j'ai eu le goût de lui répondre … « et avec votre esprit » … reliquat de ma formation d'enfant de choeur, mais rapidement je lui ai dit .. « ah bon »!

Voyant sans doute mon indifférence, elle ajouta … « Dieu vous aime » … alors je me suis souvenu que depuis plusieurs années, cette dame arpente le transport public pour lancer ses messages autant qu'elle le peut. Je l'ai regardé sans répondre comme si ma croyance religieuse la concernait pas … Elle est sortie sans ajouter un mot.

Je me suis demandé pourquoi elle agissait ainsi … qu'est ce qui la motivait? Donne-t-elle un meilleur réconfort supérieur à une tape dans le dos?

« Ce ne sont pas ceux qui savent le mieux parler qui ont les meilleures choses à dire. » Proverbe chinois

mardi 4 août 2015

PERRETTE ET LE PETIT PANIER AUX FRAISES


Je suis dans nouveau marché de fruits et légumes dont les étals sont au goût du jour … et surtout du mien. Depuis deux semaines déjà, cet établissement est envahi par des mouches … pardon, par des clients du bel âge à la recherche de la bonne affaire. Comme à l'habitude, ce sont les aînés qui sont les plus curieux et qui dominent les lieux.

Les clients ont accès par deux portes conventionnelles et une troisième convertit en porte de garage pour faciliter l'entrée … des curieux... Ce portillon qui ouvre grande sa gueule et avale tous les gens du dehors se délecte de ces intrus. En franchissant cette entrée, on voit bien que des pique-assiettes inondent les comptoirs pour subtiliser … cerises, raisins, clémentines et surtout des fraises.

De magnifiques paniers de fraises sont alignés sur les bords de cette grande porte et beaucoup gens surtout des aînés regardent, tâtent et calculent la valeur des paniers remplis de ce fruit. Mais pour les aînés, il y en a jamais assez. Ils prennent un panier et avalent voracement une des énormes fraises pour apprécier la saveur. Puis en reprennent une deuxième … une troisième … une quatrième.

Évidemment, le nombre de fraises dans le panier a diminué de volume de moitié … alors on le remplit de nouveau en pillant les paniers voisins ou du voisin. Allions y gaiement. Non satisfait de ces exactions, les aînés en profitent pour faire d'un panier d'un litres et demie ... un panier de deux litres.

Ces larcins non pas de limite. Une gloutonne vient envahir sans vergogne mes deux paniers de fraises. Je la regarde et déjà elle a quelques-unes de mes fraises dans la main. Holà la dame ... je lui prends doucement la main et je referme ses doigts sur sa paume. Elle aura cette fois de la compote à mes frais, me dis-je. Je suis heureux de voir qu'elle va goûter à une autre variété de la confiture aux fraises. Mais non elle retourne à l'étal et recommence à remplir quelques uns de ses paniers que son glouton de mari a vidé. Faut bien qu'on le soigne ce mari de 100 kilos.

Je repars avec mes deux petits paniers pour passer à la caisse avec quelques fraises en moins, mais avec des heures de plaisir en plus. Mal m'en pris, j'ai jeté un regard vers la caisse où mes deux pillards vont se produire et tenter d'expliquer le pourquoi des ses mains rouges.

« Les hommes sont conduits plutôt par le désir aveugle que par la raison. » Baruch Spinoza

samedi 6 juin 2015

FEMEN ET NUDITÈ


Je ne veux pas répéter ce pourquoi le groupe FEMEN a été fondé en 2008, mais rappeler que les trois fondatrices, des étudiantes de Kiev, ont choisis de dénuder leur poitrine dans le but de dénoncer la condition des femmes ukrainiennes. Je suis pour celles et ceux qui défendent la condition des femmes dans les pays que cela commande. Cela s'applique aux femmes des continents que l'on traite pas mieux que les animaux de la basse-cour.

Que leurs revendications se fassent les fesses ou les seins nus … je n'ai aucun problème avec ce modèle d'affaires … mais il faut choisir ces combats. Aujourd'hui, on applique cette sauce à toutes les protestations comme si le nudisme était une panacée. Défendre le droit des femmes, c'est bien mais appliquer ce droit des femmes par la nudité notamment contre la religion, l’environnement et le sport d'aujourd'hui … comprend pas. À la rigueur, la pauvreté serait une bonne cause.

La liberté de choix, est-ce que l'on connaît? Si le christianisme ne convient pas, les hommes et les femmes ont le droit de choisir le bouddhisme, le satanisme, le taoïsme ou l'hindouisme . La liberté des uns ou des unes commencent ou les autres se terminent. Ont-elles le droit d'avoir des caches d'armes comme à Kiev? Non, pas plus que les hommes.

Le mouvement SlutWalk (« marche des salopes ») qui a débuté au Canada en 2010 avait sa raison d'être parce qu'on y a défendu le corps de la femme contre des actions misogynes. Le viol, la brutalité, le harcèlement n'ont pas leur place dans la société que ce soit contre les hommes surtout mais aussi contre les femmes. On connaît surtout le cas de femmes harcelées parce qu'ils sont plus nombreux que le cas des hommes. Mais on connaît tous le harcèlement des hommes au travail. Le film … Harcèlement … le montre très bien, quoi qu'on en dise.

L'égalité entre des hommes et des femmes est la façon idéale de traiter les relations hommes femmes dans la société, mais cela est impossible sans respect. Le 5 juin dernier, des femmes se désignant comme des FEMEN se sont présentées nues étendues sur des Formule I pour protester contre un gouvernement qui ordonnait des actions visant à éviter des catastrophes financières. Est-ce répondre à la fondatrice de FEMEN qui rappelait que le mouvement a « inventée une façon unique de nous exprimer, basée sur la créativité, le courage, l'humour, l’efficacité, sans hésiter à choquer » Étendue sur le museau des voitures de courses, les gardiens les ont regardées avec beaucoup d’humour et ils avaient l'air de ne pas être choqué le moins du monde.

Tous ceux qui commentent le sujet des FEMEN croient que les thèmes ou les cibles ne font pas parti des objectifs à la défense des femmes. Ils font plus de mal que de bien à la femme. Pour les pays qui ont des femmes présidentes de sociétés et de ministères dédiés à la défense des femmes, cela équivaut à un désaveu de leur congénère. Continuez à crier au loup n'importe où et pour n'importe quoi ... on ne vous écoutera plus et vous passerez dans l'oubli.

« Le respect de soi permet d’en avoir pour les autres. » José Garcia

samedi 23 mai 2015

ARNAQUE À L'AFRICAINE


Il y a quelques semaines, j'ai reçu le message d'une femme sur mon compte Google +. Ce message provenait censément d'une belle jeune femme qui m'invitait à être son ami et encore … oh la la!. Pauvre petite … Je n'ai pas répondu à ce message puisque je n'avais aucun intérêt sauf de consulter d'excellentes photos que ce site publie.

Un autre message m'est parvenu par cette femme présumée, message qui me disait ceci … je suis une française en vacances en Afrique avec mon enfant et je n'ai pas beaucoup d'argent pour vivre … je cherche un homme … bla .. bla ...bla … J'ai pleuré aux larmes. Il m'a fallu plus de trois lectures pour comprendre le discours de cette personne tellement il y avait des fautes de construction grammaticale et de français. Évidemment, j'en fais … honte à moi.

Des françaises et français que je connais, aucun ne ferait de telles erreurs comme l'a fait cette illettrée. Ce qui m'a fait titiller dans cet assaut parce qu'il s'agit vraiment d'une intrusion sur mon beau site internet, c'est la recherche de compassion à un niveau primaire que je n'ai jamais vu. J'ai vite compris que cette démarche vise à soutirer quelque chose à un internaute pas plus intelligent que cette agresseuse,

Des recherches sur cette personne m'ont amené en Afrique. Je ne veux pas désigner un pays en particulier mais pour ceux qui s'y connaissent, ils sauront de qui je parle. Le trafique sur les adresses IP sont facilement malléables. Toutefois, le fait d'avoir répondu à cette personne que, non seulement je ne suis pas intéressé à cette demande, mais que je vais la dénoncer à régler l'échange. Le seul retour que j'ai eu c'est … Quoi! …. et la femme en question a disparu de Google+… Je me suis déguisé en bonhomme … Sept Heure.

Plusieurs sites comme celui du Huffington Post donnent d'excellents conseils pour ceux qui veulent dénoncer ce genre d’activités. Ce que je veux révéler ce sont les compagnies téléphoniques qui confient à des entreprises africaines leur centre d'appel téléphonique pour des raisons dites économiques. Qui doit porter le blâme? Des Africains qui voient là, une occasion de faire un peu d'argent de poche ou les entreprises de communications qui pensent aux siennes …

Les communications virtuelles doivent être traitées avec circonspection. Le nombre d'internautes naïfs sont aussi nombreux que les millions d'adresses internets qui leur proposent amour et fortune.

« Ne soyez ni confiant, ni banal, ni empressé, trois écueils ! La trop grande confiance diminue le respect, la banalité nous vaut le mépris, le zèle nous rend excellents à exploiter. » Honoré De Balzac


 http://www.journaldequebec.com/2015/04/27/quebec-reine-de-la-sextorsion

samedi 16 mai 2015

JOURNAL POUBELLE – ET LES FEMINISTES


Il y a quelques temps, une femme ministre Canadien déclarait au moment de la fête des mères  : « Je suis mère de deux enfants merveilleux et cette journée est toujours spéciale pour moi. Elle me rappelle combien j’ai été heureuse d’être une mère au foyer quand mes enfants grandissaient — et combien j’ai été heureuse d’avoir ce choix. »

Un journal montréalais du Canada et un organisme féministe, affirmaient que le fait de rester à la maison comme un « choix » - est « une fausse question » que se pose le gouvernement. « Les politiques sociales doivent cadrer avec les grandes tendances », et cette tendance, ajoutaient-elles, est à la scolarisation et la participation accrue au marché du travail. « L’État doit être porteur de modèles. »

Mais en quoi le choix de rester à la maison comme étant un choix est une fausse question? Que veux dire faire des politiques sociales devant cadrer avec les grandes tendances qui serait la scolarisation et la participation accrue au marché du travail? Selon Statistique Canada (2013-05-13), la répartition des femmes de 25 à 54 ans, a atteint le plus haut niveau de scolarité au Canada et entre 1990 à 2009, le niveau a plus que doubler faisant chuter la répartition des femmes qui ne terminaient pas leurs études. Par ailleurs, toujours selon ces sources plus de 64% des universitaires sont des femmes. Est ce de la démagogie ou de l’ignorance de la part de ce journal poubelle.

Ce même journal se faisant complice a plusieurs reprises de cet organisme pour déclarer en début d'année 2015 … « qu'ils étaient désolées de la sortie de Carla Bruni parce qu'elle déclarait qu’il existait au Québec un renouveau du mouvement féminisme depuis la crise étudiante » … Ils ajoutaient que ... « outre l’enjeu de la maternité, ils débattaient avec vigueur avec d’autres démagogues que les nouveaux enjeux du féminisme, comme les avortements sexo-sélectifs et la place des femmes en politique  étaient … tendance ». Serait ce que les femmes sont incapables de prendre leur place? J'en doute … Je connais déjà une belle réponse …

Ma mère qui est maintenant décédée, est demeurée à la maison pour prendre soin de sept enfants. C'est elle qui a géré le salaire de mon père non parce qu'il était incapable, mais bien parce que mon père avait du respect pour celle qu'il aimait. J'ai fait la même chose ce qui n'est pas le cas de mes enfants, mais dans la vie, on a des choix à faire et on doit apprendre à vivre avec. C'est une notion fondamentale de la liberté et l'égalité.

Quant a ces personnes qui prônent de telles théories, je vous plains car vos mères qui sont sûrement restées à la maison pour vous donner une bonne éducation et le respect pour vos congénères doivent regretter ou pleurer de vous avoir mis au monde. C'est sur elle que vous déversez les vidanges de vos poubelles.

A vous les journaux poubelles ... vos dix mille lecteurs et le reste du pays vont détecter que vous sentez mauvais. Quant à vous, les organismes complices, vous ne valez pas mieux que vos cents fidèles …

« Le pire sentiment que l’on puisse offrir à une femme est la pitié. » Vicki Baum


mercredi 15 avril 2015

RÉVOLUTIONNAIRES A DEUX SOUS


Il m'arrive très peu souvent de parler de mon lieu d'origine parce que j'ai toujours cru que c'était un endroit sans histoire et que ces habitants étaient des modérés. Cependant, depuis les deux dernières années et particulièrement les derniers mois, de paisible qu'il était, il est devenu un lieu où le cahot s'est installé de manière structurée.

Quelques étudiants d'une université montréalaise ont réussi avec la complicité de jeunes vauriens et de professeurs balourds à mettre la ville sans dessus dessous. Ils ont alarmés d'autres étudiants, des chargés de cours et la population en général par des actions relevant du terrorisme. Marche destructive dans les rues de la ville impliquant jeu de cache avec les policiers, harcèlement des autres étudiants et des chargés de cours désireux de poursuivre la session et saccage des lieux du savoir avec l'acoquinement des syndicats et certains professeurs.

Qui plus est, l’extrême gauche d'un certain milieu a tenté de prendre la direction de cette institution bien pensante par des manœuvres qui relèvent de la pure duperie. Certains professeurs ont osé s'élever contre l'état en valorisant et encourageant l'action réactionnaires des belligérants. Quelle bande de chenapans, une honte pour la société Québecoise.

Les médias s’élèvent contre ces actions, mais ils sont les premiers rendus sur les lieux du crime, ils sont les premiers à donner de la visibilité à ces fauteurs de troubles. Ils critiquent l'absence de la force policière et pour les fois qu'elle est intervenue, ils ont été les premiers à en faire la critique. Ces vicieux des communications media font le cercle. Au nom des cotes d'écoute, cautionnent-ils tout et rien en même temps?

Un animateur a tout de même démontré l'incurie de nos futures professionnels Québecois … un désastre à tous les points de vue. Des stériles, des illettrés et des benêts qui sont devenus le lots d'une partie de notre prochaine génération d'improductif et qui enseignerons à leur tour et ce, à la génération suivante, la manière de devenir des nuls. Comment avons nous pu en arriver là comme parents, instituteurs, professionnelles en tout genre et gouvernant.

Heureusement, les administrateurs d'entreprises commencent a prendre bonne notes des maisons d'enseignement référencées afin d'éviter d'engager ces jeunes qui déshonorent leurs concitoyens.

L'homme qui se croit déterminé se masque sa responsabilité. - Jean-Paul Sartre

jeudi 5 mars 2015

LES AINÉS ET LA CHAINE DE RESTO


Il est 9 heure et je prends ma marche hebdomadaire question de conserver mes jambes d’athlète … je cogite pour marcher sur les mains la prochaine fois … j'aimerais avoir des bras comme mes jambes. Mais j'en suis pas là pour le moment. J'ai un rendez d'affaire et le resto rapide du centre-ville me convient pour le traditionnel café devant combler le temps mort de cette rencontre.

Depuis plusieurs années, je n'y ai pas mis les pieds et cela pourrait me rappeler de bons souvenirs ... cependant ce n'est pas le cas … J'ai dû fréquenter cet établissement les yeux fermés car, je ne vois rien du même œil. Le bruyant resto est rempli de retraités, trop évident.

Attroupées a 3 et 4 par table, il discute de leur avenir à se défaire la mâchoire. Je vois une table de libre et avec mon café, je m'installe.

Mon voisin de gauche est parti dans une diatribe animée sur les gouvernants de l'état. La mâchoire inférieure fait l'ascenseur et je me demande si le dentier va tenir le coup. Heureusement, j'ai un livre de 500 pages dans mon sac à dos qui pourrait me servir de bouclier au cas où j'aurais l'attaque d'une prothèse dentaire. Le vis-à-vis de mon voisin discute aussi fougueusement et se lubrifie la mâchoire avec des cafés gratuits qu'il va cueillir à répétition.

Dans une autre table, une femme tout aussi âgée que les autres, promène des yeux langoureux sur son interlocuteur qui lui parle des succulentes pommes frites de l'endroit. Personne n'écoute personne. Mon voisin à droite discute assez puissamment avec une autre personne à côté de lui car, lui et l'autre semble sourd tous les deux. J'ai su qu'il ne pouvait honorer sa femme à cause d'un problème de prostate et l'autre voulait s'exécuter, mais sa femme ne voulait rien savoir … merde …

Deux femmes blondes de plusieurs années mon âge veulent s'asseoir à ma table, mais je refuse ... d'abord parce que j'ai une rencontre personnelle et, ensuite, leur regard m'invite à la prudence. Leur sourire se change en un regard mortel et je me replonge vivement dans mon journal … Merci mon Dieu …

Enfin, mon visiteur arrive ... on se serre la main et je suis moins stressé …

Le bonheur est comme un morceau de sucre. Il finit toujours par se dissoudre quand on le savoure. 

Nadine Monfils

jeudi 26 février 2015

LE PHARE DE QUEBEC OU LA FLAMME DE PARIS


Un homme d'affaires de la région de Québec a eu l'audace de voir grand pour sa région parce qu'il y voit un potentiel d'affaires importantes. Son projet, surnommé Le Phare, est une tour multifonctionnelle de 65 étages qui sera située à l'entrée de la ville de Québec au Canada. Je dis bien au Canada parce que mon blog est lu et apprécié à travers 27 pays dans le monde et ce, malgré le doute de certaines personnes …

Les connaisseurs et connaisseuses ..(sic)...surtout des journalistes Montréalos Montréalais et de confrères journalistes de Québec tentent de discréditer ce projet de peur d’être relégué comme un voisin de second rang. Ils critiquent la façon de faire d'un entrepreneur privé qui investit 600 millions de dollars de sa tirelire … de quoi je me mêle... Ces gens sont incapables tant par leur feuille de chou qu'à travers certains postes de radio de proposer une amorce de remplacement puisqu'ils sont incompétents en cette matière.

Un groupe d'architectes critique à leur tour ce projet et se disent inquiets des répercussions du gratte-ciel Le Phare sur le tissu urbain, un projet «parachuté et non réfléchi» selon eux, Si vous connaissez des hommes d'affaires capables de dépenser 600 millions de dollars sans réfléchir … nommés les.

Ils demandent à la Ville de Québec de retourner à sa table à dessin. Mauvaise compréhension ou démagogie … qui est le propriétaire? Pas la ville de Québec, je pense! On indique également que la Ville aurait à revoir ces infrastructures … se peut-il que la Ville aurait des infrastructures similaires quelques soient les projets installés. Est-ce que ces petits collégiens qui déchirent leur linge sont au courant des installations qui existent? Attention, je vous attends au détour jeunot! N'oubliez pas les revenus que Québec pourra retirer en impôts fonciers

Ce n'est pas l'argent de la Ville qui est en cause pour une fois, c'est le choix d'un homme d'affaires qui peut faire ce qu'il veut avec son capital. Certains vont même jusqu'à suggérer un concours d'architecture pour ce projet en remplacement de la firme choisie par le propriétaire ... Latte ôtée, trou s'y fit, rat s'y met…pour ceux qui ont fait leurs classiques

On invoque ce qu'il se fait ailleurs notamment en France … Voyez ce que Paris projette dans le future … Tous ces connaisseurs … oui, je sais connaisseurs n'est pas français … vont à contre-courant. Pour tous les avis négatifs, un sondage apprécie ce projet et pas moins de 72 % des répondants, répartis dans six arrondissements, accueillent favorablement dont les maquettes ont été dévoilées. Même les «voisins» du Phare, adhèrent au projet dans une proportion de 71 %, et quatre personnes sur cinq (79 %) ont été séduites par l’architecture du projet … tiens vous autres … le peuple vient de vous répondre.


Nous nous confions notre force, sans s'en vanter, nous respectons celle des autres, sans le craindre. -  Thomas Jefferson

jeudi 19 février 2015

LE STATIONNEMENT DES IMBECILES HEUREUX – VOLET II


Il est dix heure du matin et c'est un jour de milieu de semaine. Le climat est affreux … une tempête de neige qui rend la circulation difficile et les humeurs des conducteurs de véhicule et leurs passagers sont exécrables.

Le parc de stationnement du centre commercial n'est pas déneigé et les espaces de stationnement sont quasi invisible. N'écoutant que mon courage et … ma belle patience historique ... je veux voir qui va crier le plus fort. Quels sont sont ceux qui auront le plus de vocabulaire et ceux qui sont les plus mauvais conducteurs du pays.

Comme je l'ai déjà dit, les gens qui arrivent en automobile dans un parc de stationnement convoitent si c'est possible … rien de moins que les entrées … donnant accès aux portes coulissantes du centre. Alors, comme cela ne fonctionne pas et que la gonzesse passagère hurle pour passer par une fenêtre du centre si possible, un concert de klaxons et d'insultes vient rehausser cette atroce journée de tempête de la part de conducteurs qui attendent.

Des heures de plaisir s'annoncent pour moi ... votre fidèle reporter ne veut rien manquer. Un couple de personnes âgées … comme toutes les personnes âgées … n'écoute rien et avance lentement dans une place trop petite pour leur véhicule… mais diable ça va passer … et on se dit sûrement que la limousine va rester là. Un jeune conducteur qui se sent léser par une telle inconduite se met à jouer du klaxon en voyant tant d'immaturité de la part de personnes âgées. Il laisse sa voiture en marche et en descend. Il sort de sa bouche une litanie des dernières injures à la mode. Comme notre jeune homme barre le passage, d'autres conducteurs irascibles attendent la fin des affrontements.

La clameur s'élève comme au temps du cirque romain et je me dis … nous aurons de belles empoignes ce matin … sûrement que le sang va couler. Cela me réchauffe le cœur et je me dois de rester même s'il fait tempête. Je suis un faible pour ce genre de spectacles gratuits que le ridicule n’arrête pas. Le jeune homme, las de voir ce vieux couple continuer leur chemin décide de dégager les lieux car, ceux qui attendent derrière lui commence à lever la main et ce n’est pas pour lui dire bonjour puisque les mains sont fermées.


Dans la vie, tu as deux choix le matin: Soit tu te recouches pour poursuivre ton rêve, soit tu te lève pour le réaliser



Anonyme


dimanche 18 janvier 2015

A QUI PROFITE LE CRIME


Les mœurs ne semblent pas vouloir changer depuis des millénaires alors qu'on tuait tous ceux qui prenaient la parole sur la place publique pour annoncer notamment de bons préceptes. Les prophètes, ceux qui ont toujours prêché la non-violence et notre relation avec un Être suprême, ont été assassinés au nom de ces préceptes. Mais jamais l'un, d'entre eux n'a écrit de règles. Ils ont fait des prédications que des disciples se sont chargés d'interpréter à leurs façons.

Ce sont ces disciples qui ont écrit la Torah, la Bible, le Coran, la Véda, l'Avesta, le Hiao King ou Tao Tö King. Ces disciples sont des gens qui avaient le soucis du bien-être de leur congénère. Dans aucun de ces documents, on parle de violence. On enseigne la bonne conduite que l'on doit avoir envers nos semblables. On y mentionne aucune tuerie ou attaque contre un être humain.

Alors, à qui profite les énoncés de violence allant des corrections corporelles aux assassinas. Ils profitent à ceux qui les commanditent. À ceux qui comme la pègre paient pour tuer des personnes qui bien souvent n'ont rien à voir avec cette violence. Ce qu'on veut, c'est le pouvoir sur autrui … c'est de faire des exemples pour y arriver.

Pour ceux qui aiment l'histoire, il faut se rappeler que les motifs religieux ont presque toujours été des motifs pour faire la guerre, et ce jusqu'à il y a quelques centaines d'années. Les Seigneurs de guerre revendiquait des actions guerrières pour défendre des droits nébuleux dont les justifications se rapportaient à la religion. Rien n'a changé … et rien ne changera … Ceux qui invoquent les mêmes raisons devraient se rappeler que la volonté des hommes de bien gagnerons pour le bien commun.


Rien ne mérite que l'on fasse justice pour Dieu. Dieu pour ceux qui y croient peut se faire justice lui-même. - (Anonyme)

jeudi 8 janvier 2015

CHARLIE ET LA GUERRE DE CENT ANS


Aujourd'hui, des radicaux libres, ces éléments nocifs de la phalanstère ont commis encore une fois des actes de pures horreurs contre des êtres humains. Les personnes censées sur cette terre ne comprennent toujours pas que l'on puisse tuer comme les barbares, d'il y a 2000 ans. Mais, la société ne changera pas … parce que indéniablement, elle avance.

En soi, la religion musulmane, comme la religion juive, catholique, orthodoxe ou anglicane, n'est pas une panacée. C'est une affaire personnelle qui ne concerne pas la société. Ce qui est diabolique dans un certain terrorisme, c'est de se servir de la religion pour couvrir des actes vengeances contre le monde.

Ceux qui dirigent ces actions sont inférieures en nombre aux gens de mon village. Alors, pourquoi un groupuscule de personnes prétend avoir la vérité sur six milliards d'habitants qui se respectent les uns des autres. Ce terrorisme ne respecte ni Dieu, ni Allah, ni Yahweh qui a comme origine Abraham donc le même Être Suprême.

Ce que les terroristes ne comprennent pas, c'est qu'ils ne pourront JAMAIS être des leaders tant et aussi longtemps qu'ils se comporteront comme des canailles. Être un leader, c'est de permettre aux autres de s'exprimer et d'exercer des choix, d'avoir une existence heureuse en famille et d'accepter les différences.

Ces terroristes déclarent vouloir abolir les droits modernes pour revenir aux rites anciens. Alors, pourquoi ces crapules se servent des moyens ultras modernes pour leurs exactions. Pourquoi assassiner leurs mères, leurs sœurs et leurs conjointes. Pourquoi violer les femmes des inconnues et assassiner leurs frères … serait-ce qu'ils n'ont aucun respect pour la famille et beaucoup plus pour le modernisme

On invoque un Être Suprême pour tuer sa créature. N'est-ce pas lui faire insulte. Ceux qui exécutent ces actes de déprédation auront ce qu'ils méritent et peut-être pas ce qu'ils pensent mériter. Malheureusement, pour vous les terroristes, tous les groupes religieux de ce monde vous excrètent comme de la crotte.

La flèche que tu lances contre un juste reviendra sur toi.


jeudi 1 janvier 2015

VOYAGE SUR LA 802 – LE DANSEUR



Je suis un pèlerin de la 802 … parcours d'autobus que j'utilise pour me faire plaisir et qui m'instruit sur la vie de ma ville. Comme d'habitude, il y a file d'attente à l'arrêt. C'est le parcours d'un autobus articulé qui peut certainement contenir de 60 à 70 sardines … pardon passagers … et qui laisse voir tous les travers de ses passagers.

Nous montons dans le désordre et, certains d'entre nous, essayons de nous rendre jusqu'au centre du véhicule … C'est le lieu de prédilection pour s'accrocher à une autre sardine qui s'accrochera à son tour à un congénère. Mais voilà je dois m'arrêter près de la porte de sortie.

Un homme à la barbe longue, à l'odeur aussi longue et aux mouvements bizarres se pressent contre moi. Je n'aime pas ça. Sa démarche est sautillante, mais lente comme s'il enjambait un obstacle invisible. À chaque minute, il se lève sur la pointe des pieds et demeure dans cette position stationnaire pendant une autre minute … tiens un funambule …

Tout cela me dérange peu … sauf à partir du moment où sa danse lascive commence à être un peu trop près de moi. Je me retourne et le regarde dans les yeux avec les canines sorties. Je me dis qu'il va me prendre pour un vampire … mais non, il aime les vampires car, il me fait un beau sourire que je ne veux pas décoder.

Alors, la solution extrême du parfait passager excédé par ce manège … l'écrasage de pieds. Je ne pratique pas tellement cet art, mais plus jeune une amie qui dansait horriblement mal m'a enseigné sans le savoir comment appuyer douloureusement sur des orteils. Le combat commence … mon talon fait une job splendide sur le bout des souliers de cet homme. Du coup, il ne saute plus … il ne sourit plus … il ne me regarde plus. Il essaie de faire un pas en arrière. Il me fait penser à moi alors que je dansais avec ma mauvaise valseuse.

Mon expérience du jeu de pieds me rend justice … vive la samba brésilienne … Je sors en vainqueur de mon tourment encore heureux de mes prouesses sur la 802.


Le bonheur est une mosaïque composée de petits morceaux. - Charles Dumercy