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mardi 19 juin 2012

LES SILENCIEUX ... GAGNANTS

Certains écriveux au Québec, barbouille leur journal d'un potinage obséquieux envers des jouvenceaux et des syndiqueux revanchards. Le but ou devrais-je dire la mission de ces écriveux : créer de la nouvelle à n'importe lequel prix quelque soit le risque.

Dangereuse mission que voilà … oui … bien dangereuse parce que vouloir gangrener un peuple effrontément en tentant de lui faire croire qu'il est dans le droit chemin, s'appelle de la propagande. Peut-être que certains lecteurs de ces journaux croiront ce qu'on leur raconte, mais il ne faudrait pas penser que tous n'ont pas la même intelligence. Si nous étions tous pareils, certains patients de l’hospice Saint-Jean-de-Dieu de Montréal ou les patients de l'Institut de Santé Mentale de Québec feraient d'excellents écriveux.

Vous croyez avoir l'infaillibilité papale sur tout ce qui se passe dans la société, mais vous ressemblez beaucoup plus à des diseurs de bonne aventure. Quel Tristesse! Continuez de vous gratter le dos, vous et certains de vos collègues de la radio et de la télé. Pour nous, ce n'est qu'une danse à dix ou … à deux!

Faire croire à certains jeunes jouvenceaux qu'ils peuvent imposer leurs volontés à toute une nation, relève de la mythomanie. Vous êtes bien naïfs de penser que les syndiqueux appuient vos actions ! Les syndiqueux n'ont pas d'ami; ce sont des égotistes. Heureusement, l'ensemble de la nation québécoise l'a comprise parce qu'elle est moins jobarde que certains d'entre vous.

Un grand principe semble vous échapper, un principe que Socrate a déjà fait connaître pour ceux qui ont un peu érudition : « ne jamais prendre le citoyen pour un être incapable de jugement de valeur. » 

Un jour n'est pas très loin ou certains médias dont vous êtes partis n'existeront plus. Déjà, ils sont moribonds et vous aussi. Les médias électroniques vous rongent comme un cancer et bientôt les Facebook, les Twitter et les blogs de ce monde vous remplaceront.

N'oubliez jamais que le grand-frère américain verra à ce que son voisin qui est un minus habens rentre dans le rang. A partir de là, la situation sera pire car, ce sera vos enfants et vos petits enfants qui seront menottés et traités comme de vulgaire paria.

De toute façon, le citoyen a toujours raison parce que c'est lui qui vote et à chaque fois que l'on a tenté de deviner les résultats de son action, ce fut une surprise. Le citoyen est cette majorité silencieuse qui décide et non les penseux … les syndiqueux … ou les titis.


Si l’État est fort, il nous écrase. S’il est faible, nous périssons. (Paul Valéry)


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