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vendredi 4 mars 2011

VOYAGE SUR LA 802 – VOLET IX

Je monte dans l'autobus, ma 802 … il est 20 h 30 et je sors d'un cocktail bénéfice. Prudence oblige, je me dis toujours que les policiers ne pourrons pas m'arrêter, ce n'est pas moi qui conduit. mais il y a un inconvénient majeur, les odeurs. Je sais, c'est la seconde fois que j'en parle, mais cette fois-ci, C'est un format qui m'a sauté non pas aux yeux, mais au nez.

Après avoir payé mon passage, je vise un siège libre et … Oh sacrilège! Ça pu … Je suis incapable de saisir l'endroit comme le fait l'isatis. Un siège m'attend et, rapidement, je le saisis. Malheureusement, c'est la dame d'en avant qui sent le swing.

Je me lève discrètement pour me loger sur une autre banquette située un peu plus vers l'arrière. Je choisis le mauvais endroit car, les gens changent de sièges. Pourquoi? Celui qui avait le meilleur siège vient de sortir donc, le deuxième meilleur siège prend le premier prend et ainsi de suite.

Je me retrouve avec un voisin et une voisine qui sentent la nuit de noce … mon Dieu … Je ne sais plus si c'est mauvais ou si cela m'excite.

La 802 s'arrête … une femme magnifique monte et me fait un sourire … hum … enfin. Ça m'encourage à ne pas bouger de ma place. Elle s'assoit sur le siège derrière le mien. Un homme la suit. Plein comme une outre, il avance comme la balle d'une machine. Il se tient sur tout ce qui lui tombe sous la main. Je suis une de ses victimes, ma tête lui a servit d'appui.

Mes cheveux sont défaits, du moins ce qu'il en reste, je suis dû pour un shampoing. Je traîne une odeur , celle de sa main … ouf … Qu'a-t-il fait avec? La femme au sourire ne sourit plus.

J'avais pris ma douche avant de sortir , je m'étais vaporisé d'Altitude d'Armani. Je sentais la rose maintenant je sens le colon … devinez lequel?

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